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Stress post-traumatique : 15 symptômes qui ne trompent pas

L’état de stress post-traumatique peut se déclencher après une exposition directe ou indirecte à un événement traumatique. Mais il n’est pas toujours évident d’en reconnaître les symptômes. D’ailleurs nombre de personnes consultent initialement pour une autre pathologie, comme la dépression, avant de comprendre qu’elles souffrent en fait d’une névrose traumatique.
Cet article vous donnera les principaux symptômes de l'état de stress post-traumatique.

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Rédaction par La Clinique E-Santé

13 min

Publié le April 26, 2023 (modifié le January 15, 2024)

Signes et symptômes d'un état de stress post traumatique pour reconnaître le PTSD et le dépasser

Suis-je en état de stress post-traumatique ?

Vous avez vécu un événement traumatique et vous pensez souffrir d’un état de stress post-traumatique ?

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Qu’est-ce que l’état de stress post-traumatique (PTSD) ?

Le trouble du stress post-traumatique ou état de stress post-traumatique (ESPT) est un trouble réactionnel. C’est un état d’anxiété sévère pouvant se développer directement à la suite d’une situation traumatisante. Mais le PTSD (pour post-traumatic stress disorder) peut aussi se déclencher des mois, voire des années après le choc.
Le traumatisme est généralement à l’œuvre lorsque l’individu est confronté à la mort, à la peur de mourir ou que son intégrité physique est attaquée, mais aussi quand un autre est menacé.
Le traumatisme est un événement extrêmement négatif qui s’est présenté de façon soudaine et imprévisible et qui a mis la personne en état de choc émotionnel. Lorsque les capacités d’adaptation de l’organisme sont dépassées, alors le traumatisme se déclenche, en fonction de la violence de l’événement, qu’il soit répété ou non.
Deux types d’ESPT sont possibles :
Le premier arrive à la suite d’un événement traumatique unique et inattendu, qui se présente une seule fois de façon ponctuelle et qui représente une menace vitale et aigüe (un attentat, par exemple).
Le second est l’état de stress post-traumatique complexe qui survient lorsque la personne a été soumise à une succession d’événements traumatiques pendant un certain temps, ou à répétition. Dans ce contexte rentrent :


On peut en guérir généralement au bout d’un à deux ans, mais si l’on ne fait rien, le syndrome post traumatique chronique s’installe.

Bon à savoir

On retrouve trois types de victimes d'un traumatisme :

  1. Les victimes directes : elles sont exposées directement au traumatisme, par exemple, elles étaient présentes lors d’un attentat ;

2.. La victime indirecte : c’est un proche, un témoin, mais qui n’a pas vécu directement l’acte, il peut avoir été informé de la situation ;

  1. Les victimes secondaires : ce sont les soignants, les aidants, les pompiers, la police… toutes celles qui prennent en charge les autres victimes.

Comment reconnaître un état de stress post-traumatique ?

On parle d’ESPT lorsque les symptômes associés sont toujours présents trois mois après l’événement traumatique.
Les signes sont parfois bien cachés et les personnes qui souffrent d’un état de stress post-traumatique vivent avec, souvent à leur insu. Certains traumatismes peuvent d’ailleurs avoir eu lieu dans l'enfance.
Au-delà de la confrontation directe ou indirecte avec l’événement, les critères d’un stress post-traumatique reposent sur un ensemble de symptômes spécifiques :

  1. la reviviscence
  2. l’évitement
  3. l’hypervigilance
  4. la dissociation
  5. le trouble anxieux
  6. le sentiment de peur envahissant
  7. les troubles du sommeil
  8. l’agressivité et l’irritabilité
  9. des troubles relationnels
  10. une vision faussée
  11. des difficultés cognitives
  12. la mésestime de soi
  13. un syndrome dépressif
  14. des troubles de l’addiction
  15. des troubles du comportement alimentaire

Signe 1 : la reviviscence

C’est l’un des trois principaux symptômes d’un état de stress post-traumatique.
La personne va sans cesse revivre son traumatisme sans le vouloir. Des flash-backs, des rêves, des souvenirs qui la prennent par surprise ou encore des pensées qui surgissent d’un coup : tout l’amène à réveiller l’événement.
Un incident est traumatique lorsqu’il provoque une peur intense, un sentiment d’impuissance et d’horreur. La violence du choc a été si importante qu’il s’est installé dans la mémoire profonde du cerveau. Celui-ci a encodé en profondeur la mémoire traumatique, car les émotions étaient trop violentes à gérer.
Si quelque chose rappelle l’événement, alors le corps entier va se mettre en alerte, inconsciemment, à l’insu de la personne. Cela occasionne un sentiment de détresse ainsi que des sensations de panique.
Ce sont les sens qui vont jouer le rôle de déclencheur : la vue du sang, le bruit d’un pétard, l’odeur d’un parfum, la façon d’être touché.e par quelqu’un, le goût d’une boisson… Aussi, des lieux peuvent provoquer cet état : un ascenseur ou un escalier par exemple.
L’esprit est continuellement envahi par l'événement traumatique, la personne va le revivre en permanence, ainsi que les sensations physiques qu’elle a vécues pendant ce moment.
L’intrusion déclenche des flux de pensées quotidiennement, même lorsque tout va bien. Les souvenirs s’imposent constamment.

Bon à savoir

Il existe trois déclencheurs possibles au traumatisme :

  1. La catastrophe naturelle : tremblement de terre, inondation, ouragan, tsunami… ;
  2. L’accident humain ou technique : accident de travail, de train, de circulation, une explosion… ;
  3. L’acte de violence interpersonnelle : abus, maltraitance, agressions, attentats, guerre, braquage, viol, torture…

Signe 2 : l’évitement

C’est le deuxième signe que l’on retrouve systématiquement dans la névrose traumatique.
L'évitement est un mécanisme de défense commandé par le cerveau. C’est une façon pour lui d’enclencher le « mode survie ». Involontairement, ou pas, la personne va avoir tendance à éviter tout ce qui peut ramener à l’événement ou faire penser au traumatisme.
Elle se retrouve alors à contourner des situations, des activités, des thèmes ou encore des individus pouvant créer du lien avec le choc post-traumatique. Des mots, une chanson, un lieu… tout devient sujet à l’évitement dès qu’il a un rapport avec le traumatisme.
Cela peut même aller jusqu’à essayer de fuir des pensées en particulier, ce qui s’avère compliqué notamment à cause de la reviviscence, mais aussi de l’hypervigilance, qui affecte les processus cognitifs de la concentration.
À lire aussi : Ces 7 deuils dont on ne parle jamais et comment y faire face

Signe 3 : l’hypervigilance

On parle aussi d’état de survigilance ou d’hyperactivation neurovégétative. C’est le troisième signe principal.
La personne est en état d’alerte à grande échelle. Elle est constamment sur le qui-vive, prête à agir. Elle analyse tous les signaux de risque dans l’environnement.
Un état d’anxiété généralisée ou d’anxiété chronique en découle souvent. Toute l’attention est focalisée sur le danger qui pourrait surgir, mais à force cela perturbe ses capacités de concentration.
Au niveau physique l’hypervigilance peut se manifester par des sursauts, des tremblements et une transpiration excessive. L’humeur devient irritable et le sommeil se voit fortement impacté.

Signe 4 : la dissociation

La dissociation qui survient parfois dans le syndrome post traumatique provoque une forme d’anesthésie émotionnelle.
Il s’agit d’un état de détachement, la personne est froide est distante, dans un phénomène d’engourdissement de ses affects. Elle se comporte comme si elle avait perdu le contact avec son environnement, son entourage. Elle peut avoir la sensation d’évoluer dans le flou.
La personne en vient à ne plus ressentir la douleur, physique ou émotionnelle (ou alors elle la ressent différemment). Parfois, il devient impossible de penser ou parler. Dans certains cas, elle expérimente l’impression de quitter sa tête et son corps : physiquement elle est bien présente, mais son esprit est ailleurs.
L’ESPT déclenche des phénomènes dissociatifs divers tels que :

  • Le pilotage automatique : ce sont les mécanismes de défense qui prennent le contrôle de la vie ;
  • Le brouillard mental : provoque la confusion dans les pensées et les sentiments ;
  • La dépersonnalisation : le sentiment d’être étranger à soi, dans sa propre vie et ses pensées, avec la sensation de s’observer de l’extérieur ;
  • La déréalisation : il s’agit ici d’être étranger à son environnement, comme si la personne était dans un rêve.


La dissociation temporelle est aussi possible et donne l’impression d’être en dehors du temps ou que l’écoulement du temps est différent, trop rapide ou trop lent. La dissociation procure une sensation inquiétante à la personne qui la vit : elle est là, mais pas tout à fait…
L’évitement excessif renforce l’état dissociatif et peut amener la personne à vivre une amnésie post-traumatique qui se veut dissociative : les souvenirs se découpent alors comme dans un puzzle, en morceaux éclatés.
La thérapie permet de faire la lumière pour comprendre et réintégrer l’ensemble des pièces dans l’histoire de vie de la personne. La thérapie vous aide à trouver des solutions pour savoir comment guérir d'un traumatisme psychologique.

Signe 5 : le trouble anxieux

La mémoire traumatique et l’ensemble des symptômes précédents vont alimenter le stress post-traumatique. La personne se trouve dans un état d’anxiété constant, tellement intense que des troubles associés se développent systématiquement.
Il peut s’agir de l’apparition d’attaques de panique, notamment lors des moments de reviviscence. Un TAG (trouble anxieux généralisé) est fréquent, accompagné de crises d’angoisse chronique.
Il est probable que des phobies spécifiques surviennent, tout comme des troubles obsessionnels compulsifs (TOC) assortis de rituels. Par exemple, à la suite d’un viol, certaines victimes se soumettent à des rites de purification en prenant de longues douches.
Les troubles anxieux sont extrêmement handicapants et source de souffrance au quotidien, il est important de pouvoir poser des mots dessus afin de traiter ce trouble co-morbide souvent associé à l’ESPT.
A lire aussi : Trouble anxieux généralisé : 6 signes que l'anxiété s'aggrave

Signe 6 : le sentiment de peur envahissant

La peur fait partie intégrante de la vie d’une personne qui souffre d’un état de stress post-traumatique.
En lien avec les états anxieux et le choc émotionnel, ce sentiment est intense et se manifeste physiquement de plusieurs manières : le cœur qui bat vite (des palpitations cardiaques), des tremblements ou des frissons, une respiration rapide, une transpiration excessive et parfois même des syncopes.
Suivant la nature du traumatisme, il n'est pas surprenant de voir apparaître chez ces personnes, certains symptômes d'agoraphobie, ou de phobie sociale. Dans d'autres cas, un syndrome de l'escargot peut aussi se développer.

Signe 7 : les troubles du sommeil

Plusieurs éléments vont venir troubler la qualité du sommeil en cas de syndrome post-traumatique. Tout d’abord les cauchemars à répétition vont s’imposer. Ils sont en lien avec l’état de reviviscence de la personne, et le traumatisme accapare l’esprit même en plein sommeil.
Parfois, les cauchemars prennent la forme d’angoisse nocturne, véritable attaque de panique ayant lieu lorsque la personne dort.
Douloureuses à vivre, voire extrêmement effrayantes, les angoisses nocturnes peuvent rendre le sommeil impossible : la personne victime ne supportant plus de subir ces situations, repousse l’endormissement, jusqu’à s’empêcher, tant que faire se peut, de dormir.
D’ailleurs, même sans cauchemars, des difficultés pour s’assoupir ou maintenir le sommeil sont fréquentes.
L’hypervigilance réduit la décontraction du corps et de l’esprit, le moindre bruit fait sursauter et met l’individu en état d’alerte. Les insomnies en cas d'ESPT deviennent alors récurrentes, provoquant une fatigue chronique et impactant autant l’humeur que les capacités cognitives.

Signe 8 : l’agressivité et l’irritabilité

La névrose traumatique va perturber la régulation émotionnelle de l’individu.
Entre les capacités de contenances affectives et les sentiments de culpabilité, de peur, d’impuissance, la personne finit par craquer et ne trouve plus de ressources en elle ou à l’extérieur. Le sentiment d’insécurité est extrême et chez un enfant cela vient parfois bloquer le processus de maturation psychoaffectif.
Une hypersensibilité est possible, des accès de colère peuvent également devenir fréquents, ainsi qu'une perte de contrôle de soi.
Le caractère est explosif, en proie à l’impulsivité. Cela amène à des situations d’autoagressivité comme les actes de scarification ou d’automutilation, mais aussi à des mises en danger, notamment par la prise de substances toxiques.

Signe 9 : des troubles relationnels

Dans certains cas, l’état de stress post-traumatique va provoquer une atteinte narcissique avec un fonctionnement de la personne en « tout ou rien ». Le mode relationnel variera d’un extrême à l’autre au quotidien :

  • Indifférence ou attachement excessif ;
  • Position de victime ou de domination ;
  • Problèmes avec les règles ou hyperconformisme ;
  • Sous-estime de soi ou surestime de ses capacités.


Les relations sont parfois impossibles à nouer, avec une grande difficulté à faire confiance et à se laisser aller dans l’échange. Au fur et à mesure, l’individu va se retrouver en situation d’isolement social et de retrait majeur, ne tolérant dans certains cas plus personne dans sa vie.
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Signe 10 : une vision faussée

Le syndrome post-traumatique va engendrer une vision déformée de la vie.
En effet, soit le danger sera vu partout et constamment, renforcé par l’état d’hyperactivation, soit à l’inverse, la personne sera dans une forme d’idéalisation du monde.
Dans le premier cas, le risque est de perdre toute sa liberté existentielle à force d’être continuellement faussé.e par ses croyances. Dans le second cas, une vision trop idyllique de la réalité peut amener à des mises en danger et des conduites à risque.

Signe 11 : des difficultés cognitives

L’ensemble de l’énergie psychique et physique étant focalisée sur le fait de parer à toutes menaces, une personne traumatisée peut développer des troubles cognitifs.
L’asthénie en lien avec les problèmes de sommeil favorise également ces complications. La concentration se voit fortement impactée.
La perte de mémoire à la suite d’un choc post traumatique survient fréquemment. La personne peut rencontrer des difficultés pour s’exprimer, trouver ses mots ou tout bonnement réaliser les activités du quotidien.
Tout devient complexe, et parfois même une simple tâche est insurmontable. Cependant, les troubles cognitifs rencontrés ne sont pas irréversibles, certaines approches thérapeutiques à l'instar de la neuropsychologie, permettent de les traiter et aide la personne à retrouver un confort de vie.

Signe 12 : la mésestime de soi

La colère, la culpabilité et la honte vont souvent noyer l’individu victime d’un traumatisme à l’origine d’un ESPT.
Si la personne possède une part de responsabilité dans l’événement (dans le cas d’un accident de voiture par exemple) ou pense en avoir, sa culpabilité peut devenir exacerbée et étouffante à vivre au quotidien.
Cela va provoquer des ruminations et une dégradation de l’image et de l’estime de soi, influant fortement sur l’humeur et renforçant l’apparition de symptômes dépressifs.
Aussi, dans le cas d’une relation toxique, les pervers narcissiques manipulent leur victime de façon à leur enlever tout amour de soi, toute confiance et toute estime.
Les personnes ayant subi les violences psychologiques répétées de la part d’un PN peuvent voir émerger un état de stress post-traumatique dans le couple, à la suite de la rupture amoureuse.

Signe 13 : un syndrome dépressif

Dans le cas d’un traumatisme, la dépression post-traumatique apparaît pour exprimer à quel point la violence psychique a été importante.
Les symptômes dépressifs sont courants et renforcés par le trouble anxieux, la mésestime, la culpabilité et l’isolement.
La personne va manifester un manque d’intérêt pour les activités qu’elle appréciait auparavant. Elle fait preuve d’une grande tristesse, avec à l’occasion des accès mélancoliques très forts : la vie n’a plus de sens et le repli sur soi arrive fréquemment.
Lors du décès d’un enfant par exemple, le deuil périnatal peut se transformer en un deuil compliqué, allongeant la durée des troubles et l’intensité de la phase dépressive, qui se transforme dans certains cas en pathologie à part entière, le deuil basculant dans une forme pathologique. Des idées noires peuvent survenir, amenant parfois à des tentatives de suicide.
Le chagrin pathologique s’ajoute à tous les autres signes du syndrome post traumatique et pour supporter cette situation, certains individus vont recourir à un abus de substances.

Signe 14 : des troubles de l’addiction

Les chocs émotionnels et les traumatismes sont tellement intenses à vivre et à dépasser que pour y faire face, l’individu en vient parfois à consommer des produits psychoactifs.
Que ce soit au travers d’une béquille chimique prescrite par un médecin (antidépresseurs, somnifères, anxiolytiques…), de produits licites comme l’alcool ou illicites (cocaïne par exemple), le mésusage de substances semble la seule solution à portée pour la personne en souffrance.
L’objectif est bien souvent d’apaiser l’esprit de son stress post-traumatique et de réussir à « tenir le coup » pour affronter le monde.
Malheureusement, les produits ne règlent pas le problème à la source et ne sont qu’un pansement sur une jambe de bois. Le risque avec l’utilisation répétée étant de sombrer dans un usage addictif.
Trouble co-morbide ici, l’addiction va renforcer le syndrome post-traumatique en s’y superposant, en plus d’engendrer mises en danger et prises de risque nombreuses pour se procurer le produit ou accéder à l’activité.

Signe 15 : des troubles du comportement alimentaire

Voici un autre trouble co-morbide qui vient fréquemment s’associer à l'état de stress post-traumatique : les TCA, troubles des conduites alimentaires.
Très fréquemment en lien avec une mauvaise régulation émotionnelle, ces pathologies sont en rapport direct avec la nourriture. Dans l’ESPT, on retrouve généralement la boulimie et les crises d’hyperphagie.
Le fait de consommer de la nourriture pour apaiser anxiété et tristesse relève chez certaines personnes de l’addiction alimentaire : manger soulage instantanément et fonctionne comme une drogue.
En réalité, ce n’est pas la nourriture qui est problématique, mais le comportement, et la solution ne se trouve pas dans l’assiette : ici, la cause est bien le traumatisme qui a provoqué l’état de stress post-traumatique et cette pathologie reliée.

A retenir

L'état de stress post-traumatique (ESPT) entraîne des conséquences psychoaffectives, mentales et relationnelles dans la vie de l’individu.
Pourtant beaucoup ignorent en souffrir car les personnes se sont habituées à vivre avec.
En cas de choc émotionnel survenu à la suite d’un traumatisme, si les symptômes durent et que des pathologies co-morbides s’associent, complexifiant le quotidien, l’aide d’un psychothérapeute devient alors indispensable pour avancer et ne pas transformer l’ESPT en trouble chronique.

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Photo de Christèle Albaret

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