Burn out parental : Top 10 des signes qui ne trompent pas

Le burn out parental, c'est quoi ?

Aujourd’hui, on estime que 5 % des parents seraient en situation de burn-out, et 8 % supplémentaires présenteraient un risque élevé d’y faire face. Au total, presque 13 % des familles rencontrent des difficultés liées à ce trouble. Mais depuis quand, et pourquoi parle-t-on de burn-out parental ?
On observe plusieurs comportements communs aux personnes qui souffrent de ce surmenage :

• une fatigue intense et généralisée
• une certaine distance émotionnelle installée avec les enfants
• un sentiment d’incompétence lié à la parentalité

Les causes pouvant mener à un épuisement sont multiples. Les facteurs suivants représentent des éléments qui peuvent conduire un parent en burn-out :

• une charge mentale trop pesante
• l’absence de co-parentalité
• l’isolement du parent
• le manque de sommeil
• la pression à vouloir donner une éducation positive et la plus parfaite possible

Lorsque la charge de travail à la maison n’est pas partagée, l’accumulation des tâches domestiques et professionnelles, que subissent en particulier les mères de famille, peuvent mener à un surmenage maternel.
La fatigue mentale et physique qui s’installe, finit par avoir des répercussions sur la vie de la famille. La santé se détériore, les tâches quotidiennes deviennent des montagnes à franchir et le couple n’est plus en équilibre.
Dans cet article, retrouvez les 10 signes qui mettent l’alerte sur un état de burn out parental.

Quels signes indiquent un burn out lié à la parentalité ?

Vous consacrez tout votre temps à l’éducation de votre enfant, si bien que vous finissez par négliger vos propres besoins. Une fatigue s’installe alors progressivement que même des dizaines d’heures de sommeil n’arrivent pas à soulager.
Si vous avez la sensation de vous sacrifier pour votre enfant et de perdre petit à petit le plaisir de la parentalité, découvrez ces 10 signes qui prouvent que votre mal-être reflète bel et bien un burn-out parental :

1. Vous courrez après la perfection
2. Votre état émotionnel devient instable
3. Vous êtes épuisé physiquement
4. Vous peinez à effectuer les tâches quotidiennes
5. Vous rencontrez des difficultés dans votre couple
6. Vous prenez vos distances avec vos enfants
7. Vous ressentez une profonde solitude
8. Vous doutez de vos capacités de parent
9. Vous succombez aux addictions
10. Vous développez des idées noires

Signe n°1 : Vous courrez après la perfection

Le premier symptôme du burn out parental est de courir après la perfection. Vous avez à cœur d’inculquer une éducation positive et bienveillante à votre enfant.
Vous multipliez les activités pour leur faire découvrir de nouvelles choses, vous vous investissez en participant aux sorties scolaires, vous élaborez et cuisinez des recettes nutritives et saines… En bref, vous avez pour ambition de tout gérer d’une main de maître !
L’idéalisation de la vie de famille est un facteur important dans l’apparition du burn out familial. Cette image de famille parfaite que vous voyez partout, sur les réseaux sociaux ou dans les films, est inconsciemment devenue un modèle à suivre pour beaucoup de familles, dans le but d’assurer une éducation saine et heureuse pour l’enfant.
La quête de la perfection vous pousse à vous surinvestir dans le rôle de parent : vous prêtez attention à chaque détail qui pourrait contrarier les habitudes de vie que vous avez mis tant de temps et d’énergie à construire.
Ces inquiétudes peuvent être la source d’anxiété et de crises d’angoisse. De plus, elles apparaissent parfois dès l’arrivée du bébé, et créent un mal-être après l’accouchement.
C’est ce que l’on nomme le baby blues. Mais, contrairement au burn out parental, sortir du baby blues se fait de manière assez naturelle : la période de déprime post-accouchement s’estompe au fil du temps et avec le regain de confiance en soi.
Avoir des enfants nécessite un changement profond dans les habitudes de vie. Cela peut entraîner l’adoption de nouvelles routines, parfois idéalistes et impossibles à tenir sur le long terme.
L’accumulation des tâches à faire et la pression au travail provoquent souvent le délaissement de ces nouvelles habitudes. Cela vous place dans une situation d’échec qui vous fait honte et qui vous fait culpabiliser.

Signe n°2 : Votre état émotionnel devient instable

Jongler entre sa vie professionnelle et les activités des enfants n’est pas une tâche facile. Rapidement, les responsabilités s’accumulent et le stress s’installe.
Lorsque celui-ci devient envahissant, vous pouvez subir une forte anxiété qui peut provoquer des crises d’angoisse.
Il est difficile de toujours s’adapter aux besoins de l’enfant, tout en gardant du temps pour soi. Des frustrations naissent, et il est compliqué de toujours afficher une position neutre devant votre enfant.
Parfois, on perd son sang-froid et la colère prend le dessus. Mais bien souvent, elle est vite calmée par la culpabilité d’avoir montré des signes d'agressivité.
Pendant une période de stress intense professionnel et parental, les émotions sont vécues dans les extrêmes. Les effets du stress sur le cerveau sont nombreux et provoquent de l’irritabilité et des changements d’humeur fréquents.
Il y a une forte alternance entre les sentiments d’amour et de haine envers soi et envers les autres : on se sent victime d’injustice au regard des sacrifices que l’on a fait et des investissements donnés (notamment pour l’éducation des enfants dans le cadre familial), qui ne sont parfois pas reconnus à leur juste valeur.
La responsabilité importante qui repose sur les épaules du parent entraîne une pression qu’il est nécessaire de gérer pour que celle-ci ne devienne pas envahissante. Vous subissez peut-être un burn out si vous vous sentez irritable et plus sensible qu’à l’accoutumée.
Votre hypersensibilité peut alors décupler vos émotions qui deviennent, par la suite, difficiles à gérer pour vous.

Signe n°3 : Vous êtes épuisé physiquement

Ensuite, l’épuisement physique représente un symptôme du burn out parental. Le quotidien d’un parent n’est pas de tout repos. Il faut être sur tous les fronts pour pouvoir gérer en même temps la carrière professionnelle, les obligations familiales et la vie de couple.
La sensation d’épuisement ressentie par les personnes touchées par le burn out parental est assez particulière : cette fatigue physique, aussi intense soit-elle, n’est jamais soulagée, même avec de nombreuses heures de repos.
Les troubles du sommeil sont très fréquents lorsque l’on subit un burn out. Et pour cause, vos soucis vous accompagnent jusqu’au moment de dormir, vous empêchant de trouver le sommeil. Insomnies répétitives, sommeil non réparateur… les batteries d’énergie ne sont au final jamais pleines.
Vous avez l’impression que plus le temps passe, plus vos réserves se vident, et vous redoutez ce moment où vous allez peiner à sortir du lit par manque de force. Lorsque le niveau d’énergie est au plus bas, il apparaît compliqué de pouvoir s’occuper d’un enfant en étant détendu et apaisé.
Cette fatigue chronique vous procure une sensation d’être écrasé physiquement par cet épuisement. Vos membres vous paraissent lourds, vous vous sentez abattu, et votre système immunitaire fonctionne au ralenti. Au final, vous êtes plus fragile et donc plus susceptible d’être victime d’infections virales et de maladies chroniques.
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Signe n°4 : Vous peinez à effectuer les tâches quotidiennes

Votre liste de tâches à faire s’allonge de jour en jour et submerge vos pensées. Vous savez à l’avance que vous n’arriverez jamais à cocher toutes les cases de votre liste du jour, et cette sensation vous fait honte. Comment font les autres parents pour s’en sortir ?
Le burn-out parental entraîne une réelle perte d’entrain et de plaisir d’effectuer les tâches du quotidien comme les soins apportés aux enfants, les tâches ménagères ou les diverses activités manuelles.
Votre cerveau, qui subit la pression apportée par ce surmenage, est en alerte et n’arrive plus à organiser correctement les tâches selon leur priorité et leur opérabilité. Vous êtes perdus dans ce flot de pensées et les besoins à la maison s’accumulent et finissent par devenir insurmontables. Vous peinez alors à gérer les activités de chacun à la maison.
L’épuisement physique et mental que vous subissez vous abat et vous ne trouvez plus la force de tenir cette routine quotidienne que vous assuriez jusqu’à présent. Vous vous demandez comment vous pouviez venir à bout de ces tâches qui vous semblent insurmontables aujourd’hui.
Ce symptôme est un signal d’alerte qui nécessite souvent d’aller chercher de l’aide extérieure pour traverser ces difficultés et retrouver un équilibre de vie familial et professionnel.
Le burn out parental et professionnel ont des symptômes communs tels que le sentiment d’échec, la perte de motivation et l’épuisement, sauf que dans ce cas précis du burn out familial, il est relié à la vie privée.

Signe n°5 : Vous rencontrez des difficultés dans votre couple

Avec le burn out parental apparaissent un lot de difficultés conjugales. L’épuisement causé par l’éducation de l’enfant et l’irritabilité dûe aux troubles du sommeil conduit souvent à des conflits entre les partenaires.
S’occuper des enfants devient une tâche compliquée à gérer pour les deux parents, et devient la cause de nombreuses disputes.
Le stress chronique engendré par le quotidien devenu compliqué à gérer place le couple au second plan. Vous avez peut-être remarqué un certain désintérêt, un désinvestissement pour votre relation conjugale pendant cette période.
La baisse du désir sexuel chez la femme, et les troubles de la libido chez l’homme sont des signes qui peuvent révéler des difficultés au sein du couple. Dans le cadre d’un burn out des parents, le désir sexuel est délaissé et remplacé par une fatigue intense.
Outre la baisse du désir sexuel, le désintérêt pour le partenaire est parfois extrême et peut parfois mener à une infidélité. Quelquefois, le partenaire touché par cet épuisement parental évoque des envies de passer du temps ailleurs, pour souffler pendant un temps et ne plus penser aux tracas du quotidien.
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Signe n°6 : Vous prenez vos distances avec vos enfants

La distanciation affective est l’un des plus grands symptômes du burn out parental. En effet, il est clair que si vous avez le sentiment d’être épuisé et complètement vidé de toute énergie, vous ne trouverez plus la force d'interagir comme avant avec votre enfant.
Les parents qui subissent ce trouble rapportent une grande perte de plaisir à l’éducation des enfants, accompagné d'un fort sentiment de détachement. Ils prêtent moins d’attention aux dires de leurs enfants, les écoutent d’une oreille distraite et avouent négliger parfois certaines problématiques que rencontrent ceux-ci pour éviter de se rajouter une charge mentale supplémentaire.
L’enfant peut développer un attachement désorganisé s’il ressent cette distance avec son père ou sa mère.
Ce détachement émotionnel produit des impacts importants sur la relation que vous avez avec vos enfants. Ils se sentent moins écoutés, moins soutenus et souffrent de cette prise de distance.
Certains enfants pourraient développer en grandissant des blessures émotionnelles comme la blessure de rejet ou la blessure d’abandon qui sont des souffrances qui s’ancrent au cours du développement d’un enfant.
Un trouble affectif peut également naître de ces situations où l’on manque cruellement de soutien émotionnel.
La prise de distance affective vis-à-vis de votre enfant est normale dans le cas d’un burn out. Votre épuisement physique et mental vous place dans un état passif et vide d’émotions positives.
Si vous sentez une déconnexion avec vos enfants, n’hésitez pas à demander de l’aide autour de vous et à en parler à des professionnels qui pourraient vous recommander des psychothérapies efficaces.

Signe n°7 : Vous ressentez une profonde solitude

Il vous est sûrement arrivé de vous sentir cruellement seul pour traverser cette période sensible. Vous vous sentez incompris par les autres et vous avez l’impression que personne ne souffre de la parentalité.
Vous éprouvez des difficultés de communication avec votre partenaire ce qui accentue votre solitude. Ce sentiment est encore plus exacerbé si vous disposez d’une grande sensibilité.
Le burn out est aussi rencontré dans la sphère professionnelle par certains de vos proches, mais les causes ne sont pas les mêmes, et ils s’éloignent de cette source pénible lorsqu’ils rentrent à la maison.
Quant à vous, vous vivez au milieu de ce qui provoque cette charge affective et mentale et vous avez la sensation que personne ne comprend réellement votre situation.
Votre estime de vous est mise à mal pendant cette période d’épuisement mental et physique. Vous ressentez une profonde honte de ne pas réussir à gérer l’éducation de votre enfant, et vous culpabilisez trop pour en parler autour de vous. Finalement, vous vous repliez sur vous-même et évitez les échanges autour du sujet.
Vos proches, à qui vous refusez d’avouer votre sentiment d’échec, finissent par ne plus comprendre votre comportement. Il est réellement nécessaire de mettre en place des habitudes pour retrouver cette confiance en vous et renouer avec les personnes qui vous entourent.

Signe n°8 : Vous doutez de vos capacités de parent

Douter de ses capacités en tant que parent est également un symptôme du burn out parental. Souvent constaté pendant le burn out de la maman, il est courant de douter de ses capacités en tant que parent.
Évidemment, donner naissance et s’occuper pleinement d’un enfant pour qu’il puisse se développer au mieux est une tâche qui requiert beaucoup de polyvalence : patience, compréhension, et apprentissage sont les piliers sur lesquels repose l’éducation des enfants.
Vous faites de votre mieux, mais vous avez toujours cette fâcheuse impression de ne pas faire assez bien pour votre enfant. Vous avez également tendance à vous comparer avec les autres parents : pourquoi ont-ils l’air de mieux s’en sortir ?
Vous commencez à douter des méthodes que vous avez appliquées pour éduquer votre enfant. Lorsque vous rencontrez des difficultés avec celui-ci, vous rejetez directement la faute sur vos choix et le premier sentiment qui ressort est la honte.
L’image que vous vous étiez faite de vous en tant que parent ne correspond pas à ce que vous vivez actuellement. Il y a un contraste entre le parent que vous avez imaginé (ou que vous étiez avant cette période) et celui que vous êtes actuellement.
Ce signe se retrouve également dans les symptômes de la dépression post-partum. Cette forme de dépression survient au cours des semaines qui suivent l’accouchement, contrairement au burn out, qui lui, peut surgir à n’importe quel moment de votre vie.

Signe n°9 : Vous succombez aux addictions

Les conduites addictives restent encore aujourd’hui un sujet tabou et complexe qu’il est compliqué d’estimer au vu du nombre de personnes touchées qui restent dans le déni ou dans le refus de la dépendance.
Cependant, le burn out est un trouble qui précipite bel et bien les addictions. Le quotidien d’un parent touché par un épuisement est souvent mis en mode pilote automatique : les actions sont les mêmes et répétées chaque jour, presque machinalement, sans réel plaisir.
Les conduites addictives dans le cas d’un burn-out parental s’apparentent à celles d’une dépression aggravée.
Pour s’échapper quelques instants de cette réalité ou se donner un coup de pouce sur le moment, il est facile de tomber dans les addictions qui touchent les neurones et trompent le cerveau pendant un court instant.
L’abus d’alcool et la dépendance aux drogues sont deux troubles fréquemment repérés lorsqu’un parent est atteint d'un burn out sévère.
Même si des études n’ont pas été menées dans le cas précis du burn out familial, de nombreux témoignages prouvent une aggravation ou l’apparition d’addictions pendant cette période difficile.
La dépendance à des substances nocives est un trouble qu’il est important de traiter, notamment avec l’aide de professionnels de santé. Si vous estimez souffrir d’addictions, n’hésitez pas à vous rapprocher d’un psychologue qui saura trouver des solutions adaptées à votre situation.

Signe n°10 : Vous développez des idées noires

Dans les cas les plus aggravés, le burn out parental peut mener à une dépression. L’accumulation de tâches interminables, le climat conflictuel et l’épuisement physique sont de nombreux signes communs du burn out et de ce trouble de l’humeur, même si la dépression et le burn out se distinguent sur certains points.
Le manque d’épanouissement dans le rôle de parent pèse lourd sur le moral de celui-ci. Tout semble difficile à affronter, et le sentiment de tristesse et de culpabilité prend de plus en plus de place dans le quotidien. Parfois, vous pouvez ressentir une tristesse profonde dès le réveil, et à la pensée de la journée que vous allez devoir passer avec l’enfant.
Quelquefois, l’idée vous vient de tout abandonner et de partir définitivement pour vous libérer de cette charge mentale. Si des idées suicidaires apparaissent en votre for intérieur, il est temps de tirer la sonnette d’alarme pour vous libérer de cette situation.
À ce stade du burn out, il est encore largement possible de rétablir un équilibre dans votre vie de famille, et de mettre fin à votre épuisement grâce à un accompagnement thérapeutique par exemple.

Burn out parental que faire ?

Pour se libérer du burn-out parental, vous pouvez mettre en place plusieurs solutions. Elles vont vous permettre de vous détacher de cette souffrance qui entache sur votre qualité de vie.
Nous vous proposons ici 5 solutions pour faire face au burn-out parental :

1. Tirez la sonnette d'alarme
2. Identifiez et fixez vos limites
3. Consultez un thérapeute
4. Prenez du temps pour vous
5. Lâchez-prise

Tirez la sonnette d’alarme : levez le tabou sur votre état en verbalisant votre souffrance. Cela va vous permettre de normaliser ce que vous vivez, et d’en prendre pleinement conscience. La première étape est de vous libérer de cette charge émotionnelle.
Identifiez et fixez vos limites : en analysant vos journées, identifiez les facteurs de risque qui vous ajoutent une surcharge mentale et définissez des limites à ne plus dépasser, pour vos enfants, mais aussi pour vous.
Consultez un thérapeute : un psychologue, professionnel de la santé mentale, vous aidera à comprendre les causes précises de votre épuisement. Ensemble, vous aurez les armes pour trouver des solutions adaptées à votre situation. Pourquoi ne pas opter pour une séance de thérapie en couple, ou une des différentes psychothérapies comme la thérapie interpersonnelle (TIP) ? Un traitement médicamenteux peut être proposé dans certains cas.
Prenez du temps pour vous : il est important de prendre soin de sa santé physique et mentale pour garder un équilibre et ne pas se laisser dépasser par les tracas que l’on rencontre au quotidien. Vous pouvez débuter une nouvelle activité comme la sophrologie ou le running pour évacuer les tensions.
Lâchez-prise : prenez du recul sur votre situation pour enfin se déculpabiliser. Détachez-vous de cette image de la parentalité parfaite et travaillez sur votre quête du perfectionnisme pour gérer votre stress. Elle ne doit plus être la source de votre épuisement !
Dans certains cas, l’épuisement parental survient peu de temps après la naissance de l’enfant. Il est important de prendre soin de soi, communiquer avec son partenaire et retrouver des moments d’intimité après la naissance du bébé.
C’est notamment cette cohésion et cette énergie positive qui vont vous aider à traverser cette période de chamboulement.